Au coeur du labyrinthe

Reinedi 25 du mois d’Eclose. An 753 du Calendrier de Ptolus.

Après être parvenus à traverser la salle magiquement piégés, les compagnons poursuivent leur exploration du repaire souterrain censée abriter la voleuse de l’Epée de Luxure. Arrivés au second sous-sol ils découvrent un étrange laboratoire et surprennent un magicien chirurgien déformé de la même façon qu’Isidore Krepps occupé à mêler des corps vivants et des mécanismes. Après s’en être débarrassé et avoir traversé, non sans mal, une jungle souterraine peuplée de végétaux capables de mouvement et percée d’un bassin d’acide, le groupe termine devant une étrange tombe couverte de runes exotiques que Sar-Hawell identifie comme provenant de la lointaine contrée de Zangala. Poussés par la curiosité, le groupe décide (après que Sar-Hawell ait été comme étrangement hypnotisé par les runes ornant l’objet massif) de pénétrer dans ce lieu mystérieux et d’ouvrir le mystérieux sarcophage orné de scarabées… libérant un nuage d’insectes et une mystérieuse main sur laquelle Pirlipopox laisse vite retomber le lourd couvercle. Troublé par cette rencontre, les compagnons poursuivent leur exploration.

Sarcophage Scarabée

Après avoir découvert un étrange bassin de divination qui effraie quelque peu Mina mais que Talos utilise sans crainte, le groupe continue de s’enfoncer dans le labyrinthe découvrant bientôt une étrange salle du plafond de laquelle chute sans cesse une pluie d’épées gardées par un mystérieux guerrier lequel s’empresse d’attaquer quiconque franchit le seuil de son étrange retraite. D’abord déboussolés par les assauts rageurs de leur adversaire et épuisés par leur exploration, les compagnons ont du mal à lui faire face mais la puissance conjuguée des Arpenteurs finit par en venir à bout, non sans quelque mal. Devant un étrange lac, le groupe se divise, qui pour le franchir par la voie des airs, qui pour le traverser en marchant au fond avant d’atteindre un nouvel escalier menant à d’autres profondeurs inexplorées.

Prêtre des Épées

D’abord un piège de feu puis une mystérieuse salle traversée d’un pilier de noirceur de laquelle un Talos curieux tire, d’un geste puissant, une créature faite de pure obscurité que les compagnons affrontent malgré eux… avant que Talos ne parviennent à la repousser dans les mystérieux ténèbres. Epuissés mais résolus à extirper la voleuse hors de sa tanière, les Arpenteurs poursuivent leur chemin pour tomber nez-à-nez avec un piscine de lave dans laquelle s’ébattent deux créatures serpentiformes dont le corps massif est surplombé de multiples têtes, elles aussi pour partie mécaniques. Après une rude combat et des acrobaties éblouissantes de Rajar, les créatures finissent par être vaincues laissant le groupe dans un état de fatigue avancé que seule la magie d’Akell et du Grand Cerf parvient à ralentir un peu.

Tirana, agent de la Roue Noire

Quelques investigations supplémentaires révèlent un espace reculé et protégé par magie derrière lequel semble se tenir un étrange rituel. Après avoir cherché comment briser le champ de protection, Talos, Rajar et Cherubaël se ruent à l’assaut de leur adversaire laquelle tente de les noyer sous un déluge de sortilèges avant de prendre la fuite in extremis via l’invocation d’un portail magique, laissant les compagnons devant sept armes de facture ancienne, probablement les armes maudites forgées par les Dramojhs. Leur ennemie, Tirana, s’est échappée mais de puissants outils maléfiques ont été récupérés, ce qui rassérène quelque peu les aventuriers qui reprennent la route de la surface pour remettre au clergé de Lothian et à Wen Histani leur butin avant de prendre le chemin de l’Obélisque des Vents pour y prendre un repos mérité.

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